Jean Lafitte et Jeanne Michau écrivent à leur fils Joanis Lafitte Bourguignon pour lui dire qu'ils n'ont pas pu lui envoyer les outils prévus, car on les a dissuadés en pensant qu'il pourrait avoir quitté sa location.
Marie Darburu écrit à sa fille Marie Duhalde Harboure pour lui donner des nouvelles et s'excuser de la rareté de ses lettres, bien qu'elle en ait envoyé plusieurs par différents messagers, dont certains ont été capturés par les Anglais.
Marie Lamarque écrit à son fils Bernat de Lupoy (Dupouy ou Dupuy), frère de celui cité en lettre 34) pour lui adresser ses salutations et exprimer sa déception de n'avoir reçu ni lettre ni salutation de sa part cette année.
Un inconnu écrit à Bernat Haroqui pour lui faire part d'une triste nouvelle reçue de Louisbourg, transmise par sa tante Goana de Martincoenea, sans plus de détails.
Joanes Matet informe son fils Joannes que toute la famille est en bonne santé et souhaite la même chose pour lui, tout en exprimant le désir de le revoir.
Maria Dihins écrit à sa fille Haurra Maria Hiriart pour lui dire qu'elle a reçu sa lettre du 16 décembre et est heureuse d'avoir de ses nouvelles et de savoir qu'elle est en bonne santé.
Maria Dihins écrit à sa fille Haurra Maria Hiriart pour lui exprimer sa joie d'avoir reçu des nouvelles de sa bonne santé, et de savoir que sa lettre du 16 décembre a été reçue.
Maria Bortaire informe Joannis Hiribarren que sa santé, ainsi que celle de son épouse et de leurs enfants, est bonne et souhaite qu'il en soit de même pour lui.
Miguel Harismendy écrit à son fils Bernard pour exprimer son mécontentement de ne pas avoir eu de nouvelles de lui depuis deux ans, bien qu'il ait appris que Bernard s'est marié et a fait fortune.
Catalin Lalanne informe son époux Esteban Gourdo qu'elle a bien reçu sa lettre ainsi qu'une lettre de change de 120 livres, dont elle a été payée, et qu'elle a fait dire les messes qu'il avait demandées.
Gachina de Biscarrondo écrit à son frère Martin Josepe de Biscarrondo pour lui donner des nouvelles de la famille, mentionnant que leur santé est bonne, bien que leur mère soit désespérée et dans le besoin.
Gachina de Biscarrondo écrit à son frère Patchiqu de Biscarrondo pour lui dire que toute la famille va bien, bien que leur mère et sa femme aient été désespérées, cette dernière s'étant même 'échappée' avant d''aller mieux'.
Marie d’Etcheverry écrit à son fils Pierre Daguerre pour lui faire part de son état misérable et lui dire qu'elle a reçu sa lettre, bien que les nouvelles ne soient pas à la hauteur de ses attentes.