Marie Bastres informe son fils Étienne Lafontaine qu'elle a été contente de recevoir sa dernière lettre annonçant son départ pour Louisbourg et profite de cette occasion pour lui donner des nouvelles de sa bonne santé ainsi que celle de tous ses…
Pierre Haraneder écrit à son neveu Pierre Echegoyen pour exprimer sa déception d'apprendre qu'il ne se comporte pas comme attendu et attribue cela à de mauvaises fréquentations dans le pays où il se trouve.
Joanna Castillou Duhalde écrit à son époux Jean Castillou pour l'informer de leur situation difficile et exprime son souhait qu'il soit en meilleure position.
Betry Daguerre informe son frère Martincho Daguerre de sa bonne santé ainsi que de celle de leur famille, bien que son épouse soit gravement malade depuis neuf mois.
Maria de Saint Martin informe son fils Joanis Diharce qu'elle a reçu la lettre de change et l'argent qu'il a envoyé, pour lesquels elle le remercie et prie pour sa santé.
Marie de Çubiet écrit à Laurens Perusquy pour exprimer sa déception de ne pas avoir reçu de lettres de sa part, bien que des habitants de Sare lui aient assuré qu'il est en bonne santé et qu'il gagne un peu d'argent.
Marie Berrogain écrit à son amie Catherine Laborde pour lui souhaiter une bonne santé et l'informer que sa propre santé est fragile, ayant subi des chagrins et des persécutions qui l'ont conduite à un procès.
Betri Etcheberry informe son fils Joannes qu'ils lui envoient cette lettre après deux précédentes restées sans réponse, expliquant que ce n'est pas leur faute si leurs lettres ne lui sont pas parvenues.
Jean Lafitte et Jeanne Michau écrivent à leur fils Joanis Lafitte Bourguignon pour lui dire qu'ils n'ont pas pu lui envoyer les outils prévus, car on les a dissuadés en pensant qu'il pourrait avoir quitté sa location.
Marie Darburu écrit à sa fille Marie Duhalde Harboure pour lui donner des nouvelles et s'excuser de la rareté de ses lettres, bien qu'elle en ait envoyé plusieurs par différents messagers, dont certains ont été capturés par les Anglais.
Marie Lamarque écrit à son fils Bernat de Lupoy (Dupouy ou Dupuy), frère de celui cité en lettre 34) pour lui adresser ses salutations et exprimer sa déception de n'avoir reçu ni lettre ni salutation de sa part cette année.
Un inconnu écrit à Bernat Haroqui pour lui faire part d'une triste nouvelle reçue de Louisbourg, transmise par sa tante Goana de Martincoenea, sans plus de détails.
Joanes Matet informe son fils Joannes que toute la famille est en bonne santé et souhaite la même chose pour lui, tout en exprimant le désir de le revoir.