Duplicata de la la lettre de Lanne à Messieurs Beaubassin Silvain & Compagnie dans laquelle il exprime sa détresse face à l'impossibilité d'honorer les lettres de change qu'ils ont tirées sur lui, à cause de difficultés financières non spécifiées.
Peredos de Carette, depuis Bayonne, écrit au chevalier Du Brouhet, capitaine au régiment de Bourgogne à Louisbourg, pour l'informer de l'envoi des effets demandés, accompagnés d'une facture détaillée.
Marie Martine Duronea adresse une lettre à son frère, Saint-Martin Duronea, capitaine de navire à Louisbourg, où elle exprime ses sentiments mitigés concernant son mariage récent.
Dans sa lettre datée du premier mars 1757, Etienne Dalbarade s'adresse à Monsieur Dominique Leblanc pour s'excuser du retard dans l'envoi d'une charrette de barils d'anchois, en raison de l'absence d'un bouvier.
Etienne Dalbarade, depuis Hendaye, adresse une lettre à Monsieur Leblanc à Bayonne, datée du 10 mars 1757, pour l'informer de l'envoi d'un double d'une reconnaissance concernant cinquante-six barils d'anchois, avec les détails des arrangements pris…
Étienne-Pierre Cabarrus écrit à Michel Dacarette pour exprimer sa satisfaction de recevoir ses lettres et de pouvoir exécuter ses commandes, confirmant ainsi son attachement et son engagement à satisfaire les besoins de Dacarette à partir de Bayonne.
Dans cette lettre, l'oncle de M. Lafitte, charpentier à Louisbourg, exprime son contentement suite à la réception d'une lettre de son neveu qui lui apporte de bonnes nouvelles concernant sa santé.
La femme de Marc écrit à Jean Laborde, trésorier du roi à Louisbourg, depuis Bayonne le 23 mars 1757, pour partager les difficultés rencontrées depuis qu'elle a dû suivre son mari en France sur ordre des autorités.
La femme de Marc écrit depuis Bayonne à Mme de Laboularderie à Louisbourg pour lui demander de l'aide, évoquant sa détresse et les difficultés rencontrées avec son mari après leur déménagement obligatoire à Bayonne.
Angélique Laparque, d'Hendaye, écrit à Louis Merlet à Louisbourg pour l'informer de la situation financière précaire dans laquelle elle se trouve, mentionnant ses difficultés économiques malgré l'envoi précédent de 600 livres par Merlet.
Dans sa lettre, Behola, prêtre, exprime initialement la réaction émotionnelle de la mère de Monsieur Saint-Martin Duronea à l'annonce de son mariage à Louisbourg, qui était marquée par une grande affliction transformée en larmes et cris.
B. Fagalde, depuis Urcuray, écrit à M. Berho, actuellement prisonnier à Basingstoke en Angleterre, pour lui faire part de sa compassion suite à sa capture et lui transmettre des nouvelles de sa famille qui est en bonne santé.
Bertrand Duvergé, depuis Bayonne, écrit à Augustin de Boschenry de Drucour, gouverneur de l'Île Royale à Louisbourg, pour accuser réception de sa lettre et confirmer la livraison d'une commande de morue à M. de Lalande Gayon via Nantes.
Bertrand Duvergé, écrivant de Bayonne à Jacques Imbert à Louisbourg, exprime des préoccupations concernant les arrangements financiers et commerciaux entre eux, en particulier sur la manière de gérer leurs comptes et la participation de Lannelongue…
Bertrand Duvergé écrit à Jacques Imbert, négociant à Louisbourg, pour l'informer de plusieurs tentatives de lui envoyer des lettres via différentes goélettes et le capitaine Marsans Larroulet.
Bertrand Lacomberry, écrivant depuis Bordeaux à son cousin Joseph Lustre à Louisbourg, exprime son contentement d'avoir pu remettre les lettres destinées à la femme de Joseph et se réjouit de la bonne santé rapportée de son cousin malgré les rumeurs…
Catherine Detchegaray, depuis Ascain, écrit à son époux Pierre Detchevers en Martinique, exprimant son inquiétude due à l'absence de nouvelles directes de sa part, ce qui suscite également la surprise parmi leurs amis.
Dans cette lettre du 5 mars 1757, Catherine Dolabarats Despiaube s'adresse à Gracieuse Daguerre, gouvernante de Monsieur Dolabarats à Louisbourg, pour exprimer l'inquiétude de sa mère face au manque de nouvelles de sa part, ce qui est perçu comme un…
Catherine Dolabarats Despiaube de Saint-Jean-de-Luz écrit à son mari, Joannis Galant Dolabarats, capitaine de port à Louisbourg, pour lui donner des nouvelles de la famille et informer de la situation locale et de la cour de France.
Catherine Dolabarats Despiaube écrit de Saint-Jean-de-Luz à Joannis Galant Dolabarats à Louisbourg pour lui donner des nouvelles de la famille et des conditions locales.
Catherine Lustre, depuis Bordeaux, écrit à son fils Joseph Lustre à Louisbourg, le remerciant pour ses envois financiers et exprimant sa préoccupation quant à son silence prolongé.
Dans sa lettre, Domeings Dolhonde Paletore s'adresse à Pierre Leblanc, en profitant du retour de son fils pour lui transmettre ses respects et compliments.
Dominique Hiriart, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à Chrysostome Loppinot, aide major à Louisbourg, pour confirmer l'envoi de quatre caisses de vin de Claparet via le navire L'Adour de Bayonne, piloté par le capitaine Marsans Hirigoyen.
Dominique Hiriart, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à M. Jouet, un négociant à Louisbourg, pour confirmer la réception de sa lettre qui mentionne la vente de trois pièces de rets et discuter de transactions commerciales.
Dans sa lettre adressée à Michel Harismendy à Saint-Jean-de-Luz, Dominique Leblanc exprime ses vœux de nouvelle année en espérant que Harismendy et sa famille connaîtront satisfaction et prospérité.
Esteben Mendy, depuis Sare, adresse une lettre à Joannes Detchebery, marin à Louisbourg, pour lui communiquer le bon état de santé de leur famille et exprimer sa joie quant aux lettres de change reçues, signe de la bonne fortune de Joannes.
Estebeny Detchegoyen, depuis Saint-Jean-de-Luz, adresse une lettre à Jean Louis Lahiton à Louisbourg, lui rappelant son engagement de rembourser la somme de 420 livres destinée à la subsistance de leur famille.
Étienne Dalbarade, depuis Hendaye le 24 mars 1757, écrit à son ami Louis Merlet à Louisbourg pour lui envoyer deux barils d'anchois par l'intermédiaire de Dominique Leblanc.
Étienne-Pierre Cabarrus, dans sa lettre à M. Came de Saint Agne à Louisbourg, relate la réception de la commande de ce dernier et des retards occasionnés par l'attente du départ opportun d'un bateau pour le transport des marchandises.