Duplicata de la la lettre de Lanne à Messieurs Beaubassin Silvain & Compagnie dans laquelle il exprime sa détresse face à l'impossibilité d'honorer les lettres de change qu'ils ont tirées sur lui, à cause de difficultés financières non spécifiées.
Peredos de Carette, depuis Bayonne, écrit au chevalier Du Brouhet, capitaine au régiment de Bourgogne à Louisbourg, pour l'informer de l'envoi des effets demandés, accompagnés d'une facture détaillée.
Étienne-Pierre Cabarrus écrit à Michel Dacarette pour exprimer sa satisfaction de recevoir ses lettres et de pouvoir exécuter ses commandes, confirmant ainsi son attachement et son engagement à satisfaire les besoins de Dacarette à partir de Bayonne.
B. Fagalde, depuis Urcuray, écrit à M. Berho, actuellement prisonnier à Basingstoke en Angleterre, pour lui faire part de sa compassion suite à sa capture et lui transmettre des nouvelles de sa famille qui est en bonne santé.
Bertrand Duvergé, depuis Bayonne, écrit à Augustin de Boschenry de Drucour, gouverneur de l'Île Royale à Louisbourg, pour accuser réception de sa lettre et confirmer la livraison d'une commande de morue à M. de Lalande Gayon via Nantes.
Bertrand Duvergé, écrivant de Bayonne à Jacques Imbert à Louisbourg, exprime des préoccupations concernant les arrangements financiers et commerciaux entre eux, en particulier sur la manière de gérer leurs comptes et la participation de Lannelongue…
Bertrand Duvergé écrit à Jacques Imbert, négociant à Louisbourg, pour l'informer de plusieurs tentatives de lui envoyer des lettres via différentes goélettes et le capitaine Marsans Larroulet.
Bertrand Lacomberry, écrivant depuis Bordeaux à son cousin Joseph Lustre à Louisbourg, exprime son contentement d'avoir pu remettre les lettres destinées à la femme de Joseph et se réjouit de la bonne santé rapportée de son cousin malgré les rumeurs…
Betry Daguerre informe son frère Martincho Daguerre de sa bonne santé ainsi que de celle de leur famille, bien que son épouse soit gravement malade depuis neuf mois.
Dans cette lettre du 5 mars 1757, Catherine Dolabarats Despiaube s'adresse à Gracieuse Daguerre, gouvernante de Monsieur Dolabarats à Louisbourg, pour exprimer l'inquiétude de sa mère face au manque de nouvelles de sa part, ce qui est perçu comme un…
Catherine Dolabarats Despiaube de Saint-Jean-de-Luz écrit à son mari, Joannis Galant Dolabarats, capitaine de port à Louisbourg, pour lui donner des nouvelles de la famille et informer de la situation locale et de la cour de France.
Catherine Dolabarats Despiaube écrit de Saint-Jean-de-Luz à Joannis Galant Dolabarats à Louisbourg pour lui donner des nouvelles de la famille et des conditions locales.
Dans sa lettre adressée à Michel Harismendy à Saint-Jean-de-Luz, Dominique Leblanc exprime ses vœux de nouvelle année en espérant que Harismendy et sa famille connaîtront satisfaction et prospérité.
Étienne Dalbarade, depuis Hendaye le 24 mars 1757, écrit à son ami Louis Merlet à Louisbourg pour lui envoyer deux barils d'anchois par l'intermédiaire de Dominique Leblanc.
Étienne-Pierre Cabarrus, dans sa lettre à M. Came de Saint Agne à Louisbourg, relate la réception de la commande de ce dernier et des retards occasionnés par l'attente du départ opportun d'un bateau pour le transport des marchandises.
Dans cette lettre d'Étienne-Pierre Cabarrus à son frère Michel-Léon Cabarrus, le premier détaille leurs transactions commerciales et financières, notamment les paiements et les envois de marchandises.
Fransa de Canderats veuve Lahiton, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à son fils Jean Louis Lahiton, commis à Louisbourg, pour lui faire part de sa bonne santé et de celle de sa famille.
J. G. Larreguy, depuis Saint-Jean-de-Luz, informe Michel Delort, négociant à Louisbourg, des dernières aventures maritimes et des expéditions récentes, tout en espérant réparer les éventuelles erreurs lors de la prochaine campagne en mai.
Jean Barrère écrit à Guillaume Delort pour l'informer de l'envoi de plusieurs paires de souliers et escarpins, destinées à lui-même et à sa famille, inclus dans un envoi plus large par le bateau Le Dauphin.
Dans sa lettre datée du 23 octobre 1756, Jean Barrère, depuis Bayonne, s'adresse à Jean Laborde à Louisbourg, lui faisant part de la réception de sa correspondance et des événements concernant le bateau "le Victorieux" (Dauphin de Louisbourg).
Jean Barrère écrit à Jean Laborde pour lui informer de l'état de leurs comptes courants et des transactions commerciales récentes, mentionnant un débit de 10 livres.
Jean Barrère (cadet) écrit à M. Morain (cadet) pour lui transmettre un paquet de la part de M. Daniel Augier de Charente, envoyé via le brigantin commandé par le sieur Marsans Larrolet.
Jean Lanne, en date du 4 avril 1757 à Bayonne, informe Jean Laborde, propriétaire du navire et trésorier de la marine à Louisbourg, du départ du bateau Le Dauphin et de la goélette Les Deux frères.
La lettre de Lanne à Messieurs Beaubassin Silvain & Compagnie exprime sa détresse face à l'impossibilité d'honorer les lettres de change qu'ils ont tirées sur lui, à cause de difficultés financières non spécifiées.
Jean Lirman écrit à Simon Gotière de Bayonne, exprimant ses respects et se renseignant sur l'état de santé de Simon et de sa famille, tout en demandant des nouvelles d'un billet et de divers prêts qu'il a faits.
Jean Sartho, depuis Saint Jean de Luz, écrit à un ami à Louisbourg, lui rappelant leurs connexions passées et exprimant sa gratitude pour l'aide précédemment reçue.
Jeanne de Chast, veuve Madaris, de Ciboure, écrit à Jean Laborde, négociant à Louisbourg, pour lui rappeler une dette concernant les salaires de son défunt mari François Madaris, qui travaillait comme matelot sur la goélette La Pitouche.
Joanna Haurra Mococain veuve Domecq, depuis Saint-Jean-de-Luz, s'adresse à son fils Bertrand Domecq, officier marinier à Louisbourg, pour lui exprimer sa surprise et sa déception de ne pas avoir de ses nouvelles depuis son départ.
Dans sa lettre datée du 15 octobre 1754, Joannis Cassaro, depuis Léognan, s'adresse à un destinataire non spécifié pour lui rappeler un arrangement financier passé durant une période de guerre.